1. Sylvain Fattebert renchérit: «Męme si aucun blé transgénique ne fait l‘objet de velléité de commercialisation, ce genre d‘étude, qui veut démontrer l‘avantage de la technologie génétique sur la sélection naturelle, fait le lit des multinationales de l‘agroalimentaire en tentant de nous habituer ŕ la présence d‘OGM dans l‘environnement.» Etudier le blé transgénique n‘est pas infécond, a souligné Pia Malnoë, de l‘Agroscope Changins–Wädenswil, et membre du Comité de direction du PNR5': «Vu le nombre d‘esp';ces existant dans le monde, c‘est un mod';le de recherche important, au sujet duquel les connaissances sont déjŕ immenses en Suisse.